Estampe du Nouvel An 年畫 (nianhua) en couleurs figurant le dieu de la Richesse 財神 (Caishen) tenant un sceptre "ruyi" 如意 de sa main droite, entouré d'un cortège de fidèles, assis devant un récipient de lingots d'or. La partie supérieure de l'estampe s'apparente à un linteau portant à plusieurs reprises le caractère 喜 (xi) du bonheur. Au-dessus de la divinité, figurent le caractère 福 (fu, "bonheur"), ainsi que les cartouches inscrits de la formule de bonne augure 增福 (zengfu, "augmenter la richesse") d'une part, et celle invoquant la divinité 財神 (Cai Shen) d'autre part. L'estampe est signée en partie inférieure droite des caractères 同順德 identifiant l'atelier de Tong Shunde, à l'origine de cette production.
Papier découpé 剪紙 (jianzhi) rehaussé de couleurs représentant le dieu de la Richesse 財神 (Caishen) tenant un rouleau ouvert sur l'inscription formulant le vœu de grande richesse: 大發財源 (dafa caiyuan). Il est entouré de deux acolytes portant respectivement un arbre à sapèques et un arbre à lingots 元寶 (yuanbao). Ils se tiennent devant un récipient remplis de richesses (monnaies et lingots). Un cartouche rouge en haut à droite inscrit du nom de Caishen 財神 permet d'identifier la divinité. Le jianzhi est issu de la production de Yangliuqing 楊柳青 dans la municipalité de Tianjin.
Papier découpé 剪紙 (jianzhi) sur papier rouge représentant le dieu de la Richesse 財神 (Caishen) tenant un rouleau ouvert sur l'inscription rehaussée d'or formulant le vœu de grande richesse: 大發財源 (dafa caiyuan). Il est entouré de deux acolytes portant respectivement un arbre à sapèques et un arbre à lingots 元寶 (yuanbao). Ils se tiennent devant un récipient remplis de richesses (monnaies et lingots). Un cartouche en haut à droite inscrit du nom de Caishen 財神 permet d'identifier la divinité. Le jianzhi est issu de la production de Yangliuqing 楊柳青 dans la municipalité de Tianjin.
(Lieu d'édition inconnu : 氣吹舍塾 , [1869]). (Lieu d'édition inconnu : Ibukinoyajuku, [1869]). Recueil d'oraisons destinées aux divinités shinto. Dans le colophon, mention de titre indiquant qu'il s'agit du second volume (續篇, zokuhen). Egalement une mention du graveur (彫工, chōkō) des planches de l'édition : 木邨嘉平房義. En ajout à la page de titre, un feuillet manuscrit avec traduction en français du titre de l'ouvrage.