- FR EFEO FCA/2/RCA/1922/12
- Pièce
- 1922
Fait partie de Conservation d'Angkor
Document n°129 de l'année 1922 - Du Conservateur d'Angkor au Directeur de l'École française d'Extrême-Orient
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Fait partie de Conservation d'Angkor
Document n°129 de l'année 1922 - Du Conservateur d'Angkor au Directeur de l'École française d'Extrême-Orient
Fait partie de Archives administratives et scientifiques
Correspondance avec liste des objets à exporter
Fait partie de Documents de propagande khmère rouge
Fait partie de Documents de propagande khmère rouge
Fait partie de Documents de propagande khmère rouge
Te x tes datés du 17.06.1978 et du 25.06.1978.
Fait partie de Chantier de restauration du Baphuon
Découvertes et enrichissement des collections
Fait partie de Archives administratives et scientifiques
Poteries trouvées à Dai-la : pièces graphiques (s.d.).
Fait partie de Collection d'art tibétain
Statuette en ronde-bosse figurant une divinité féminine assise en vajrāsana sur un trône de lotus. La main gauche, ramenée sur la poitrine, effectue un geste de préhension indiquant qu'elle tenait initialement un attribut, la main droite fait le geste de l'absence de crainte (abhayamudrā). Chignon formé de deux bulbes surmontés de la perle enflammée, longues mèches de cheveux ondulés tombant sur les épaules. Oeil frontal. Sous socle double vajra et yin-yang.
Fait partie de Collection d'art tibétain
Ronde-bosse en bronze, doré pour le visage, les mains, les pieds et les parures, figurant une divinité féminine à 4 bras assise en vajrāsana sur un socle triangulaire à la base moulurée et dont la partie supérieure est ornée de pétales de lotus aux volumes arrondis. Elle porte un diadème à 5 fleurons, est coiffée d’un haut chignon du type jaṭa-mukuṭa surmonté d’un fleuron, tandis que des mèches peintes en bleu s’échappent en volute sur les épaules. Les deux mains supérieures ont perdu leur attribut, une des main posée dans le giron tient le vase qui permet d’identifier cette déesse à Cuṇḍā. La main droite, élevée au niveau de la poitrine, comporte une perforation au niveau de la paume indiquant qu’elle tenait autrefois un attribut. La divinité au visage serein porte des pendants d’oreille circulaires avec pendeloques, un collier, des brassards, des bracelets et une écharpe.
Le socle est fermé par une plaque de cuivre orné du motif du double vajra associé au yin-yang.
Déesse bouddhique Tārā dite « blanche »
Fait partie de Collection d'art tibétain
Ronde-bosse en bronze figurant la déesse bouddhique Tārā, assise en vajrāsana sur un socle orné d’une double rangée de pétales de lotus en volume. La déesse est dotée de 3 yeux et porte également un œil dans chaque main et sur la plante des pieds. Elle porte un chignon surmonté du joyau et une queue de cheval que le déhanchement renvoie sur l’omoplate droite. Son visage apaisé est doré et sa chevelure peinte en bleu. La main droite touche le sol, paume apparente. La main gauche est levée, pouce et index joint comme si elle esquissait le geste de l’argumentation. De la partie supérieure du socle émerge une fleur de lotus dont la tige s’enroule autour du bras gauche de la déesse, la fleur s’épanouissant au niveau de sa tête. Elle porte un collier ainsi qu’un pectoral évoquant le monde végétal. Sa jupe est marquée de plis en léger relief sur la jambe.