Les rapports témoignent de l’activité mensuel, trimestriel ou annuel de la Conservation d’Angkor. Ils sont écrits, signés et envoyés par le conservateur au directeur de l’EFEO. A partir de 1920, des photographies, avec un système de numérotation, sont parfois rajoutées. Ces photographies sont souvent envoyées avec un délai et ont malheureusement été séparées des rapports. Elles sont conservées à la photothèque de l’EFEO, mais restent, dans la plupart des cas, identifiées (voir les sources complémentaires). A partir de 1928, les rapports sont dactylographiés et non manuscrits. En 1960, avec l'arrivé de Bernard-Philippe Groslier en tant que conservateur, les rapports antérieurs ont été ressaisis à la machine à écrire. On trouve donc pour plusieurs années des rapports en doublons : l'un manuscrit et l'un dactylographié (celui de 1960), dans ce cas précis, nous avons mentionné la nature directement dans l'intitulé ; ou deux dactylographiés (à partir de 1928), la nature n'est plus renseignée, mais la mention "copie" a été ajouté au deuxième rapport pour éviter d'avoir deux intitulés similaires. Des pièces jointes, pour la plupart des lettres ou des croquis, sont parfois envoyées en plus des rapports ; un descriptif a donc été renseigné dans le champ "Portée et contenu" lorsque c'était le cas. Enfin, les rapports se complètent avec les journaux de fouilles dont ils reprennent parfois les informations pour les confirmer ou les infirmer.